J'fais partie des hommes qui ne parlent pas,
je sais te mentir mais ça marche pas.
Tu es hors de pierre sous la barca,
tu vois que je vais bien mais c'est pas le cas.
J'ai venu prendre ce que mon père n'a pas pris,
je lise dans le mille,
j'en suis capable.
Laissez d'avoir tout ce qui n'a pas tué avant que les autres mettent à quatre pattes.
L'avenir s'écrase sous le poids de mes pas,
tu m'as jugé tu me connais même pas.
On ride la zone quand la ville s'endort,
on fait des choses que les condes n'aiment pas.
Je trace ma route,
on n'a pas les mêmes buts,
frérot la fin on la connaît déjà.
Pas les mêmes visions,
pas les mêmes buts,
t'amènes à mon fils dans le creux de ses bras.
On fout la merde pour le camp d'après,
tu veux m'abattre il faut pas me rater.
J'allais pas bien tu l'as pas remarqué,
je te le montrais tu m'as pas regardé.
Je compte les secondes,
je tiendrai encore,
je refais le monde,
quand je m'endors.
Putain de boules dans le ventre,
j'ai les yeux levés dans l'espace quand je rentre.
Peu importe les efforts je montrais la pente,
on me vient s'arrêter au sommet pour m'attendre,
et je rentre seul comme d'hab.
Tu m'as déçu comme d'hab,
tu m'as dit que tu serais là comme d'hab.
Y'a plus grand monde à la fin ce que je constate,
remballe ton net-piss.
J'en ai pas besoin,
je remontrais seul, j'veux qu'on m'entende dans toutes les villes.
J'monte le quince sur le compresseur,
tu parles de moi,
j'me défends de j'esquive.
J'vois le monde bien mais que quand j'ai pu,
concentre toi sur le positif,
c'est difficile.
J'le vois même plus.
Quand est-ce qu'on s'parle,
ça va pas bien.
Quand est-ce qu'on s'voit,
ça commence à faire.
La vie de rêve,
j'en suis encore loin.
J'vois les choses bien sur la vie de ma mère.
Un jour j'contrais les caras,
quand j'ai besoin d'eux gros y'a pas un rat.
J'ai vu personne à mes côtés,
j'marcherai seul comme caras.
Un jour j'contrais les caras,
quand j'ai besoin d'eux gros y'a pas un rat.
J'ai vu personne à mes côtés,
j'marcherai seul comme caras.