L'heure de l'amour de ses parents,
mois lits d'une erreur de calcul,
Chimère, Anna, Diomène d'invente,
trop plein de vagues et de débois,
Héritage malheureux ne sait que mieux perpétuer son dû,
Quand les tensions font trop de plis et les moments font médifier.

Je ne serai plus jamais propre,
Incrustée de tous ces parasites sonophages et tuants,
Elle n'était pas faite pour vivre mais je pouvais pas la tuer.

L'amour ne naîtra pas de rien car de ce rien ne naîtra plus que moi,
De tout ce qu'il en restera.

A qui monnie de l'amuser,
amusée par l'écart posé,
Entre les parasites et les actes et,
les entailles qui en résultent.

Une goutte de moi,
un bout de bras,
de petites larmes de déni,
Mais je suis tout de la même,
de manches puisqu'elles semblent perdues d'avance.

Je ne serai plus jamais propre,
J'ai beau foutre et arracher les peaux inépuisables,
Leur saleté devenue mienne ne me brûlera jamais là.

L'amour ne naîtra pas de rien car de ce rien ne naîtra plus que moi,
De tout ce qu'il en restera.

L'amour ne naîtra pas de rien car de ce rien ne naîtra plus que moi,
De tout ce qu'il en restera.