Une sorte de chanson qui pique un peu,
qui t'inconforte,
qui rappelle que tu grandis,
la maison qui paraît plus petite et plus vicieuse,
que quand tu avais quatre ans avant qu'un mur te rousse le grain,
et ne t'obliges à choisir.
Le sang de Jean,
la récente l'an,
j'aime trop tu rentres chez,
Jean, tu rentres chez.
Je déteste jeter les vieux objets qui servent à rien,
car ils m'ont supporte mais on doit,
tout garder et vénérer,
quitte à crever,
sous un tas de souvenirs,
qui pourraient venir nous hanté,
ne les prends pas pour acquis.
Le sang de Jean,
la récente l'an,
j'aime trop tu rentres chez,
Jean, tu rentres chez.
J'aime trop tu rentres chez.