Tu ne dors plus mais le lendemain est à serrer,
Pour accueillir ta dépouille,
il mieux la déchirer,
Quand ta vie pleut,
ceux que ces nuages ont absorbés,
Se respirent avec une saveur encore plus frustrée,
À quand remonte le dernier regard qui sent le vrai,
Qui perce cette vague qui te fait te sentir déguisé,
Si tes corps s'effritent en lampe,
personne en gardera un seul,
On les nourra en une corde pour sceller où tes doigts entrent,
Ta nouvelle poète interne est un beau jour qui passe,
Mais peux-tu toujours sentir une caresse devant chaud ?,
Qui s'échappe des fissures de ceux que tu avères ?,
C'est parfois amer de te brûler à ta quintessence,
Pourquoi ton reflet te perd sans te regarder ?,
Ton propre regard est lourd de reproches et de tes bois usés,
Si tes corps s'effritent en lampe,
personne en gardera un seul,
On les nourra en une corde pour sceller tes doigts entrent,
Si tes corps s'effritent en lampe,
personne en gardera un seul,
Si tes constructions ont tourné en mémoire rousseuse,
L'incubation de ta haine arrive à saccorda,
Comme un drap saturé d'eau qu'on est sort d'une tension,
Le séchage prendra peut-être plus d'un siècle pour deux,
C'est ici que ton ombre se divise irémissiblement,
Que la guillotine aura châté cheveux ton enfant morcelé,
Si tes corps s'effritent en lampe,
personne en gardera un seul,
On les nourra en une corde pour sceller tes doigts entrent,
Si tes corps s'effritent en lampe,
personne en gardera un seul