A pas négéter l'acier du quelque chose de qui l'a laissé,
Trop loin de tout ce que je sers en pendant les égouts,
C'est un endroit pour penser,
L'imperfection agit cachée qu'attend-elle de moi,
Il est trop tard pour prendre un miroir,
Mais pourquoi pas plonger pour nettoyer la part en être quand beau,
?,
Un orage de cheveux sourds,
J'ai besoin que tu restes,
Pourquoi tu veux me laisser ?,
Je préfère en mourir,
me le dire !,
Ce danger est à nous envoyant de fumée,
Qu'il est trop tard pour tous mes mots,
Je te regarde juste sur les deux tons sans,
T'as des gendarmes,
Tu tombes du pur de tous les toits,
Et tu es déjà si loin,
Si j'avais approché ton démon,
Je l'aurais fait bien,
Mon étoile s'est éteinte,
J'ai perdu une jambe dans la boue Je veux éclore,
le ciel Il n'y a plus rien pour me porter,
Je te vois partout,
Sauf dans tes propres vestes,
Ta peau va s'émietter,
Et j'en ferai une chaussure Ça m'aide à marcher sur ce même ciel,
Tu n'es plus inutile Avec ton sourire mort, douleur me ment,
Sans toi, la vie, la houle,
Autant s'y plier, réveille-moi,
L'âme m'a pas les menoirs,
Je pire pour en un sourire de toi,
J'ai réalisé en voyant te fumer Qu'il est trop tard pour tous mes mots,
Donc je t'avais hurlé de tout notre sang Désirés gendarmes,
Tu tombes du pur de tous les toits Et tu es déjà si loin,
Si j'avais approché ton démon Je l'aurais fait bien,
J'ai réalisé,
Tout ça que tu étais parti,
La vie sans toi,
Tu n'aurais jamais plus que moi